Les survêtements même en dehors de chez soi
Il est intéressant de constater que la tendance est désormais de porter des survêtements même en dehors de chez soi. Les gens s’y sont habitués pendant la pandémie et cela est resté ainsi. C’est pourquoi je porte des survêtements pratiquement partout le week-end. Je veux profiter du confort de ne pas avoir à porter de jeans le week-end, je n’ai aucun problème à aller faire les courses en survêtement.
J’ai longtemps cherché des survêtements qui ne soient pas trop larges et qui ressemblent plutôt à des pantalons, mais qui soient en même temps en tissu de survêtement, afin qu’ils soient plus confortables que des jeans classiques. J’ai trouvé Anesi et j’en suis très satisfait. À mes amis qui ont une silhouette similaire et aiment porter des pantalons de survêtement, je recommande la taille M, mais j’ai aussi un ami qui porte la taille S pour avoir des pantalons plus ajustés.
Je les ai essayés ce week-end pour faire du sport, lorsque je suis allé jouer au football avec des amis. Ils étaient très souples et je me suis senti à l’aise tout au long de la partie. De plus, il neigeait beaucoup et j’ai été surpris qu’ils ne soient pas trempés. Je ne sais pas si c’est grâce à leur matière résistante ou aux sous-vêtements thermiques que je portais en dessous, mais ils ont bien résisté à des conditions météorologiques moins clémentes.
J’aime porter Anesi en ensemble avec un sweat-shirt noir Mykonos,. Ce survêtement est parfait pour le sport. Tout s’accorde bien ensemble et en même temps, Mykonos est un sweat-shirt fonctionnel qui, grâce à sa résistance, a parfaitement résisté à la neige. En dehors du sport, j’aime bien le porter au travail et à l’extérieur, même ma femme l’apprécie, je vais donc lui en acheter un, ainsi que Anesi un pantalon de survêtement.
Je peux même imaginer un tel ensemble sur mon petit garçon, alors peut-être qu’un jour BENNON fabriquera aussi des survêtements pour nos petits champions. D’ailleurs, le même ensemble pour le père et le fils, ce serait vraiment génial !
Jiří Prášek











